Assistante administrative
Aurélie D.
97429 Petite-ile
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Interview de Aurélie D.
Définissez vous en quelques mots...
Disponible, positive, maladroite, impliquée.
Pour vous, qu'est ce qu'un(e) bon(ne) assistant(e) ?
Une personne sur qui on peut compter et en qui on peut avoir confiance.
Pour vous, qu'est ce qu'un bon patron ?
Une personne ferme, avec du charisme, motivant et qui est capable de dire quand ça ne va pas de manière courtoise.
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Quel est selon vous le cadre de travail idéal ?
Une bonne ambiance et relations entre collègues.
Pour vous, qu'est ce qu'un(e) mauvais(e) assistant(e) ?
Une assistante sur qui on ne peut pas compter, car elle n'est pas sérieuse dans son travail ou parce qu'elle a une attitude de "je m'en foutisme".
Avec quel patron ne pourriez vous pas travailler ?
Un patron trop laxiste, trop gentil, ou encore insouciant.
Pour moi, un patron doit avoir un minimum d'autorité.
Pourriez vous nous faire part d'une expérience relative àl'une des questions posées précédemment ?
Selon vous l'avènement des nouvelles technologies et l'autonomie qu'elles confèrent àtout un chacun supprimera-t-elle àterme le rôle de l'assistante ou le renforcera-t-il ?
Je pense qu'on aura toujours besoin d'une assistante, une personne disponible quand le patron ne l'est pas, une personne qui soulage la charge de travail du patron ou du responsable d'un service.
(Si vous êtes une femme) Les hommes entrent sans complexe dans ce métier : y voyez vous une concurrence ?
Il y a de la concurrence que ce soit des hommes ou des femmes.
(Si vous êtes un homme) Les femmes voient elles d'un bon oeil le fait que vous occupiez cette fonction ?
Pouvez vous faire le portrait de l'assistant(e) de l'an 3000 ?
Le télétravail est il un progrès ou une régression ?
Je pense que le télétravail est àdouble tranchant, car d'un côté il permet de pallier aux contraintes de déplacement, de distance entre le bureau et le domicile. Je pense que cela répond àun besoin autant des salariés que des patrons. D'un autre côté, il peut entraîner un isolement du salarié.
Selon vous les 35 heures sont-elles réalistes pour l'assistant(e) ?
Cela dépend de l'activité de l'entreprise mais je pense qu'il faut au moins ça.
Sans langue étrangère, un(e) assistant(e) peut-(elle)il aujourd'hui prétendre àun parcours d'excellence ?
Non, avec la mondialisation, les entreprises sont amenées àavoir de plus en plus de partenariats avec les autres pays. Un patron préfèrera donc une assistante bilingue pour des échanges avec l'étranger.
Quelle différence faites vous entre un(e) assistant(e) et un(e) secrétaire ?
Une assistante est plus autonome, elle est capable de prendre de l'initiative et est une force de proposition. Elle est mobile.
Pourriez vous nous proposer 5 questions pour l'interview du mois prochain et avez vous des suggestions ànous faire pour le progrès du site Assistante Experte ?
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