Assistante de direction bilingue ou trilingue
Camille G.
94190 Villeneuve St Georges
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Interview de Camille G.
Définissez vous en quelques mots... Motivée, dynamique, tenace, vive, organisée, rapide, exigeante, gaie, optimiste, loyale, honnête, intransigeante, sociable.Pour vous, qu'est ce qu'un(e) bon(ne) assistant(e) ? Une bonne assistante est àl'écoute des besoins de son manager et de l'entreprise, elle anticipe dans la mesure du possible les demandes, elle facilite la tâche àson manager et optimise son temps, le préserve des "petits tracas" du quotidien autant que possible; elle est aussi capable de gérer seule des dossiers et de prendre le relais en cas d'absence du manager. Elle est fiable, loyale et honnête, disponible et organisée, fait preuve de souplesse.
Pour vous, qu'est ce qu'un bon patron ? Un bon patron est exigeant mais sait faire preuve de reconnaissance, il est respectueux et juste et sait déléguer et faire confiance. Il est capable de faire preuve de souplesse. Il est àl'écoute de l'avis et des propositions de son assistante lorsqu'ils sont pertinents. Il participe àla formation (interne ou externe) de son assistante.
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Quel est selon vous le cadre de travail idéal ?
Une entreprise de taille modeste (pas un grand groupe), avec une bonne ambiance (bonnes relations entre collègues et entre employés et patrons), une dynamique de développement.
Pour vous, qu'est ce qu'un(e) mauvais(e) assistant(e) ? Une mauvaise assistante est celle qui se contente de faire ce qu'on lui demande, ou àqui il faut demander plusieurs fois chaque tâche, qui n'anticipe pas et n'est pas organisée; ou bien une assistante qui ne respecte pas la confidentialité de ce qu'elle est amenée àlire/voir/entendre, qui trahit la confiance de son patron ou de ses collègues.
Avec quel patron ne pourriez vous pas travailler ? Avec un patron trop rigide ou qui considère qu'une assistante doit se contenter d'obéir et de taper des lettres et de répondre au téléphone, qui ne délègue que les tâches répétitives et sans enjeu.
Pourriez vous nous faire part d'une expérience relative àl'une des questions posées précédemment ?
Selon vous l'avènement des nouvelles technologies et l'autonomie qu'elles confèrent àtout un chacun supprimera-t-elle àterme le rôle de l'assistante ou le renforcera-t-il ? Je pense que le rôle de l'assistante n'en sera ni renforcé, ni supprimé, simplement modifié. Un patron n'aura toujours pas le temps de taper ses courriers, de répondre au téléphone (surtout quand il a un portable en plus du fixe), les traducteurs automatiques sont loin d'être fiables... Les technologies sont des outils, des aides, mais ne pensent pas et ne créent pas tout seuls. De plus, certains patrons ne maîtrisent justement pas ces technologies.
(Si vous êtes une femme) Les hommes entrent sans complexe dans ce métier : y voyez vous une concurrence ? Non, car la plupart des patrons et des cadres dirigeants sont encore des hommes, et que je pense que la plupart préfèrent avoir une assistante qu'un assistant... D'autre part, je pense que c'est un métier pour lequel il n'y a pas de raison qu'un des deux sexes soit meilleur que l'autre. Il s'agit plus d'une question d'accord entre deux personnalités, le patron/la patronne et l'assistant(e).
(Si vous êtes un homme) Les femmes voient elles d'un bon oeil le fait que vous occupiez cette fonction ?
Pouvez vous faire le portrait de l'assistant(e) de l'an 3000 ? C'est impossible: vu la vitesse àlaquelle les technologies et la structure des entreprises évoluent, on ne peut imaginer ce que sera l'assistant(e) de l'an 3000.
Le télétravail est il un progrès ou une régression ? Je pense que c'est un progrès, mais qui compense des problèmes modernes: distance entre le domicile et le lieu de travail, coût des transports, problème de garde des enfants...
Selon vous les 35 heures sont-elles réalistes pour l'assistant(e) ? Les situations sont très différentes d'une entreprise et d'un poste àl'autre... mais pour ma part j'ai toujours fait plus de 35 heures.
Sans langue étrangère, un(e) assistant(e) peut-(elle)il aujourd'hui prétendre àun parcours d'excellence ? Cela me paraît difficile, d'autant plus que parfois les patrons eux-mêmes ne maîtrisent pas les langues étrangères.
Quelle différence faites vous entre un(e) assistant(e) et un(e) secrétaire ? Un(e) assistant(e) est àla fois un(e) secrétaire et un adjoint, avec des responsabilités plus variées, des dossiers àgérer de façon autonome, des fonctions transversales.
Pourriez vous nous proposer 5 questions pour l'interview du mois prochain et avez vous des suggestions ànous faire pour le progrès du site Assistante Experte ?
Réduire son Interview Pour vous, qu'est ce qu'un(e) mauvais(e) assistant(e) ? Une mauvaise assistante est celle qui se contente de faire ce qu'on lui demande, ou àqui il faut demander plusieurs fois chaque tâche, qui n'anticipe pas et n'est pas organisée; ou bien une assistante qui ne respecte pas la confidentialité de ce qu'elle est amenée àlire/voir/entendre, qui trahit la confiance de son patron ou de ses collègues.
Avec quel patron ne pourriez vous pas travailler ? Avec un patron trop rigide ou qui considère qu'une assistante doit se contenter d'obéir et de taper des lettres et de répondre au téléphone, qui ne délègue que les tâches répétitives et sans enjeu.
Pourriez vous nous faire part d'une expérience relative àl'une des questions posées précédemment ?
Selon vous l'avènement des nouvelles technologies et l'autonomie qu'elles confèrent àtout un chacun supprimera-t-elle àterme le rôle de l'assistante ou le renforcera-t-il ? Je pense que le rôle de l'assistante n'en sera ni renforcé, ni supprimé, simplement modifié. Un patron n'aura toujours pas le temps de taper ses courriers, de répondre au téléphone (surtout quand il a un portable en plus du fixe), les traducteurs automatiques sont loin d'être fiables... Les technologies sont des outils, des aides, mais ne pensent pas et ne créent pas tout seuls. De plus, certains patrons ne maîtrisent justement pas ces technologies.
(Si vous êtes une femme) Les hommes entrent sans complexe dans ce métier : y voyez vous une concurrence ? Non, car la plupart des patrons et des cadres dirigeants sont encore des hommes, et que je pense que la plupart préfèrent avoir une assistante qu'un assistant... D'autre part, je pense que c'est un métier pour lequel il n'y a pas de raison qu'un des deux sexes soit meilleur que l'autre. Il s'agit plus d'une question d'accord entre deux personnalités, le patron/la patronne et l'assistant(e).
(Si vous êtes un homme) Les femmes voient elles d'un bon oeil le fait que vous occupiez cette fonction ?
Pouvez vous faire le portrait de l'assistant(e) de l'an 3000 ? C'est impossible: vu la vitesse àlaquelle les technologies et la structure des entreprises évoluent, on ne peut imaginer ce que sera l'assistant(e) de l'an 3000.
Le télétravail est il un progrès ou une régression ? Je pense que c'est un progrès, mais qui compense des problèmes modernes: distance entre le domicile et le lieu de travail, coût des transports, problème de garde des enfants...
Selon vous les 35 heures sont-elles réalistes pour l'assistant(e) ? Les situations sont très différentes d'une entreprise et d'un poste àl'autre... mais pour ma part j'ai toujours fait plus de 35 heures.
Sans langue étrangère, un(e) assistant(e) peut-(elle)il aujourd'hui prétendre àun parcours d'excellence ? Cela me paraît difficile, d'autant plus que parfois les patrons eux-mêmes ne maîtrisent pas les langues étrangères.
Quelle différence faites vous entre un(e) assistant(e) et un(e) secrétaire ? Un(e) assistant(e) est àla fois un(e) secrétaire et un adjoint, avec des responsabilités plus variées, des dossiers àgérer de façon autonome, des fonctions transversales.
Pourriez vous nous proposer 5 questions pour l'interview du mois prochain et avez vous des suggestions ànous faire pour le progrès du site Assistante Experte ?
