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Assistante de direction
Sandrine G.
13720 La Bouilladisse
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Interview de Sandrine G.
Définissez vous en quelques mots... Bonjour, Je travaille depuis 15 ans en tant qu'Assistante de Direction bilingue anglais, au sein de petites et grandes entreprises, essentiellement pour le compte d'entités Ressources Humaines, domaine que j'affectionne tout particulièrement.Pour vous, qu'est ce qu'un(e) bon(ne) assistant(e) ? Une bonne assistante partage le quotidien professionnel et la confiance de son manager. Elle doit être organisée, avoir une bonne communication orale et écrite, de bonnes capacités d'adaptation et un excellent relationnel, pour faire le lien entre son manager et les différents acteurs de l'entreprise.
Pour vous, qu'est ce qu'un bon patron ? Un patron qui fait confiance, qui partage l'information, ouvert aux propositions. Il doit savoir prendre des décisions, dire quand ça va et quand ça ne va pas. Il doit participer àl'évolution de ses salariés.
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Quel est selon vous le cadre de travail idéal ?
Un cadre àla fois pratique et confortable, où tout ce qui est nécessaire au poste est facilement accessible.
Pour vous, qu'est ce qu'un(e) mauvais(e) assistant(e) ? Une assistante désorganisée, ne sachant pas fixer ses priorités, privilégiant ses états d'âme àses états de service...
Avec quel patron ne pourriez vous pas travailler ? Un non décisionnaire, un lunatique, un colérique, une personne de mauvaise foi...
Pourriez vous nous faire part d'une expérience relative àl'une des questions posées précédemment ? J'ai travaillé durant 10 ans au sein de la DRH d'un grand groupe international. Mon patron d'alors m'a fait confiance et je n'ai jamais autant appris et n'ai jamais été aussi créative que durant ces années.
Selon vous l'avènement des nouvelles technologies et l'autonomie qu'elles confèrent àtout un chacun supprimera-t-elle àterme le rôle de l'assistante ou le renforcera-t-il ? Le rôle de l'assistante change, vers plus de responsabilités, plus d'implication dans les dossiers en cours. L'avènement des nouvelles technologies permet d'enrichir notamment le poste d'assistante et lui permet de se concentrer sur sa fonction première : faire gagner du temps àson patron.
(Si vous êtes une femme) Les hommes entrent sans complexe dans ce métier : y voyez vous une concurrence ? Non. Le phénomène me semble encore marginal.
Le télétravail est il un progrès ou une régression ? Bien évidemment un progrès, dès lors qu'il s'offre comme un choix supplémentaire.
Selon vous les 35 heures sont-elles réalistes pour l'assistant(e) ? C'est aux patrons qu'il faut poser la question... Pour ma part, le passage aux 35 h n'a rien changé de probant dans ma vie professionnelle : même implication, mêmes services rendus. Juste un accent encore plus accru àposer sur la gestion des priorités.
Sans langue étrangère, un(e) assistant(e) peut-(elle)il aujourd'hui prétendre àun parcours d'excellence ? Evidemment. Beaucoup de postes d'assistantes aujourd'hui ne requièrent pas la pratique d'une langue étrangère.
Quelle différence faites vous entre un(e) assistant(e) et un(e) secrétaire ? La différence se situe essentiellement dans le degré de responsabilités confiées. Une assistante gère généralement tout ou partie d'un certain nombre de dossiers et/ou de projets, sur lesquels elle peut avoir une latitude très large, tandis qu'une secrétaire exerce des tâches de secrétariat pur, souvent très administratives. Il faut être une bonne secrétaire pour être une bonne assistante.
Réduire son Interview Pour vous, qu'est ce qu'un(e) mauvais(e) assistant(e) ? Une assistante désorganisée, ne sachant pas fixer ses priorités, privilégiant ses états d'âme àses états de service...
Avec quel patron ne pourriez vous pas travailler ? Un non décisionnaire, un lunatique, un colérique, une personne de mauvaise foi...
Pourriez vous nous faire part d'une expérience relative àl'une des questions posées précédemment ? J'ai travaillé durant 10 ans au sein de la DRH d'un grand groupe international. Mon patron d'alors m'a fait confiance et je n'ai jamais autant appris et n'ai jamais été aussi créative que durant ces années.
Selon vous l'avènement des nouvelles technologies et l'autonomie qu'elles confèrent àtout un chacun supprimera-t-elle àterme le rôle de l'assistante ou le renforcera-t-il ? Le rôle de l'assistante change, vers plus de responsabilités, plus d'implication dans les dossiers en cours. L'avènement des nouvelles technologies permet d'enrichir notamment le poste d'assistante et lui permet de se concentrer sur sa fonction première : faire gagner du temps àson patron.
(Si vous êtes une femme) Les hommes entrent sans complexe dans ce métier : y voyez vous une concurrence ? Non. Le phénomène me semble encore marginal.
Le télétravail est il un progrès ou une régression ? Bien évidemment un progrès, dès lors qu'il s'offre comme un choix supplémentaire.
Selon vous les 35 heures sont-elles réalistes pour l'assistant(e) ? C'est aux patrons qu'il faut poser la question... Pour ma part, le passage aux 35 h n'a rien changé de probant dans ma vie professionnelle : même implication, mêmes services rendus. Juste un accent encore plus accru àposer sur la gestion des priorités.
Sans langue étrangère, un(e) assistant(e) peut-(elle)il aujourd'hui prétendre àun parcours d'excellence ? Evidemment. Beaucoup de postes d'assistantes aujourd'hui ne requièrent pas la pratique d'une langue étrangère.
Quelle différence faites vous entre un(e) assistant(e) et un(e) secrétaire ? La différence se situe essentiellement dans le degré de responsabilités confiées. Une assistante gère généralement tout ou partie d'un certain nombre de dossiers et/ou de projets, sur lesquels elle peut avoir une latitude très large, tandis qu'une secrétaire exerce des tâches de secrétariat pur, souvent très administratives. Il faut être une bonne secrétaire pour être une bonne assistante.
