Assistante de direction
Vanessa B.
31240 Saint Jean
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Interview de Vanessa B.
Définissez vous en quelques mots...
Dynamique et sociable, j'ai besoin de contact, j'aime aller au bout des choses et le travail bien fait.
Pour vous, qu'est ce qu'un(e) bon(ne) assistant(e) ?
Une personne dévouée et discrète qui sait rester dans l'ombre tout en étant indispensable.
Pour vous, qu'est ce qu'un bon patron ?
Quelqu'un qui délègue et surtout prend le temps d'expliquer les choses.
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Quel est selon vous le cadre de travail idéal ?
Dans une société jeune et dynamique au milieu d'une équipe. Le tout en bonne intelligeance.
Pour vous, qu'est ce qu'un(e) mauvais(e) assistant(e) ?
Une personne qui ne pose jamais de question et n'en fait qu'àsa tête, quelqu'un qui veut être dans la lumière.
Avec quel patron ne pourriez vous pas travailler ?
Un phobique de la communication, une personne qui ne sait pas déléguer, un tortionnaire qui prend son assistante pour un bouc émissaire.
Pourriez vous nous faire part d'une expérience relative àl'une des questions posées précédemment ?
Lors de ma formation, j'ai fait un stage au sein d'un service évènementiel et j'ai participé dès le premier jour àune réunion où l'on m'a demandé mon avis, j'ai été bluffée.
Selon vous l'avènement des nouvelles technologies et l'autonomie qu'elles confèrent àtout un chacun supprimera-t-elle àterme le rôle de l'assistante ou le renforcera-t-il ?
Non. Les supérieurs n'ont pas forcément le temps de traiter tout ce que gère une assistante et personne ne peut se passer du contact humain.
(Si vous êtes une femme) Les hommes entrent sans complexe dans ce métier : y voyez vous une concurrence ?
Pas du tout, une ouverture d'esprit surtout et une évolution de ce métier.
Pouvez vous faire le portrait de l'assistant(e) de l'an 3000 ?
Bac + 3/4 performante sur tous les tableaux (assistanat, prise de décisions, trilingue). Un véritable bras droit.
Le télétravail est il un progrès ou une régression ?
Il peut être un excellent moyen de garder une vie sociale lorsque sortir de chez soi devient problématique (handicap, maternité, éloignement géographique).
Selon vous les 35 heures sont-elles réalistes pour l'assistant(e) ?
Ca dépend des entreprises. Il faut savoir faire des concessions.
Sans langue étrangère, un(e) assistant(e) peut-(elle)il aujourd'hui prétendre àun parcours d'excellence ?
Définitivement : non.
Quelle différence faites vous entre un(e) assistant(e) et un(e) secrétaire ?
La capacité d'être autonome au besoin et de prendre des décisions quand il le faut.
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