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Assistante de direction
Elisabeth D.
94310 Orly
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Auto-entretien de Elisabeth D.
Cet entretien a eu lieu le 10/11/10 à 20h39
Consultant : Bonjour, pourriez vous vous présenter brievement s'il vous plait ? Elisabeth : Je me prénomme Elisabeth, j'ai 41 ans et s'il fallait me décrire en un seul mot : dynamiqueConsultant : Etes vous heureus(e) d'exercer votre métier d'assistant(e) ? Elisabeth : Oui
Consultant : qu'est ce que votre métier d'assistant(e) vous apporte ? Elisabeth : C'est dans la responsabilité complète d'un périmètre de gestion administrative et dans l'attention que je porte aux autres que je m'épanouis.
Voir la suite de son l'Auto-entretien
Consultant :
Dans quelle situation préférez vous travailler ?
Elisabeth :
dans l'anticipation
Consultant : Pourquoi préférez vous travailler dans l'anticipation ? Elisabeth : Ma grande capacité d'analyse de mon environnement, mon autonomie, le recul que je peux avoir, me prédisposent à toujours trouver les méthodes, les process pour améliorer notre capacité à anticiper, et ainsi se donner le temps d'agir plutôt que je réagir. Cette capacité de temporiser permet par la même de gérer la réelle urgence et l'imprévu.
Consultant : Tolérez vous les dépassements d'horaires ? Elisabeth : Oui
Consultant : Votre environnement tolère-t-il les dépassements d'horaires ? Elisabeth : Oui.
Consultant : Préférez vous ? Elisabeth : Débuter tôt - Finir tôt
Consultant : Avez vous déjà donné votre démission ? Elisabeth : Oui
Consultant : Combien de fois avez vous donné votre démission et pourquoi ? Elisabeth : J'ai démissionné une fois au motif qu'il m'était impossible de cautionner la nouvelle organisation. Celle-ci impliquait que toutes les Assistantes de Direction devenaient interchangeables à tout moment de la semaine. Ce nouveau profil de poste, induisait une négation totale de mon expertise, de mes valeurs, et une incapacité à terme de pouvoir faire évoluer sa carrière. Connaissant ma capacité de rebondir, j'ai pris donc un risque calculé.
Consultant : Qu'est ce que la ponctualité pour vous ? Elisabeth : une vertu
Consultant : Pourquoi considérez vous la ponctualité comme une vertu ? Elisabeth : C'est le premier acte de respect.
Consultant : En dehors de vos loisirs, avez vous des activités extra professionnelles, du type association ? Elisabeth : Oui
Consultant : Quelles sont ces activités extra-professionnelles ? Elisabeth : Je prends des cours de danse country c'est rafraà®chissant !
Consultant : Que lisez vous régulierement ? Elisabeth : Un magazine
Consultant : Quel magazine lisez vous régulièrement ? Elisabeth : Les articles sur le marché de l'emploi, sur notre société et son évolution, sur la psychologie.
Consultant : Pouvez vous classer ces divertissements par ordre d'interet : le cinéma, la télé, le théâtre, la lecture, le sport, le shopping, les sorties entre amis ? Elisabeth : La lecture, la télé, le théâtre, le shopping, le cinéma, les sorties entre amis.
Consultant : Aimez vous dessiner ? Elisabeth : Oui
Consultant : Etes vous créatif(ve) et comment le savez vous ? Elisabeth : Je suis créative, et c'est pourquoi j'élabore des process dans le cadre professionnel pour faciliter la gestion quotidienne.
Consultant : Pouvez vous classer ces vertus par ordre d'importance pour vous, la politesse, l'honnêteté, la modestie, le courage, la franchise, la ponctualité, la rigueur ? Elisabeth : L'honnêteté, la politesse, la modestie, le courage, la franchise, la ponctualité, la rigueur.
Consultant : Laissez vous votre numéro de portable à la disposition de votre entreprise ? Elisabeth : Oui
Consultant : Vos collègues sont ils nécessairement vos amis ? Elisabeth : Non, je fais en sorte de maintenir une distance selon les rapports hiérarchiques et opérationnels tout en gardant une part de convivialité. Quant aux autres, ce sont les affinités qui priment.
Consultant : Aimez vous participer à des salons professionnels ? Elisabeth : Non
Consultant : Aimeriez vous participer à un salon ou à un évènement professionnel ? Elisabeth : Oui, si l'on me donne l'opportunité ou si je prends part à son organisation.
Consultant : Aimez vous les relations avec la clientèle ? Elisabeth : Oui
Consultant : Avez vous une dimension commerciale ? Elisabeth : Oui, si cette dimension ne devient pas le cà…“ur de métier.
Consultant : Avez vous déjà organisé des voyages à étapes pour des dirigeants ? Elisabeth : Non
Consultant : Vous sentez vous capable d'organiser des voyages pour des dirigeants ? Elisabeth : Absolument, j'ai organisé durant plusieurs années les voyages de 30 Consultants qui se déplaçaient quotidiennement.
Consultant : Avez vous déjà été à l'initiative d'un changement d'organisation procédural ou managérial dans une entreprise ? Elisabeth : Oui
Consultant : En quelle occasion avez vous pris cette initiative d'un changement d'organisation ? Elisabeth : 1-J'ai élaboré un process à base de mailing à partir une base de données que j'avais moi-même créé pour les déplacements des Consultants, ce qui m'a permis de diviser par quatre le temps de gestion quotidien. 2-J'ai créé entre autre un tableau de bord de la gestion quotidienne des formations INTER-entreprises.
Consultant : Vous êtes trés fatigué(e), mais avec 20 minutes d'efforts supplémentaires vous pouvez terminer tous les dossiers en cours, que faites vous ? Elisabeth : Je poursuis en prévoyant de relire le lendemain
Consultant : Avez vous déjà participé à des séminaires, des conférences, des cercles de qualité? Elisabeth : Oui
Consultant : Avez vous déjà travaillé en famille ? Elisabeth : Non
Consultant : Aimeriez-vous travailler en famille ? Elisabeth : Non, il est préférable pour maintenir des liens, d'éviter tout conflit qui pourrait se retrouver dans la sphère familiale.
Consultant : Préfériez vous travailler dans une Micro Structure (2 à 10 personnes), une PME (30 à 100 salariés) ou un Grand Groupe ? Elisabeth : Une PME
Consultant : Pourquoi préféreriez vous travailler dans une PME ? Elisabeth : Etant donnée mon expérience dans différentes organisations du travail, je préfère une PME : l'individu a sa place sans être broyé par le poids de la complexité de l'organisation et des relations internes induites par ce type de système.
Consultant : Quel pourcentage de votre temps de travail représente l'assistanat classique ? Elisabeth : 50 %
Consultant : Les 50 % sont consacrés à quelles autres activités ? Elisabeth : Au support managérial de l'équipe, à l'amélioration des objectifs par l'intégration de nouveaux process... à suppléer son N+1 dans les domaines qui ne sont pas en lien avec la stratégie de la Direction, ce domaine restant le à‚« pré carré à‚» du Directeur.
Consultant : Dans quel secteur d'activité souhaitez vous ne plus travailler ? Elisabeth : Tout me convient.
Consultant : Travaillez vous avec un dictionnaire ? Elisabeth : Oui
Consultant : Avez vous une bonne orthographe ? Elisabeth : Très bonne.
Consultant : Avez vous déjà travaillé avec une personnalité difficile ? Elisabeth : Oui
Consultant : Combien de temps avez vous travaillé avec une personnalité difficile ? Elisabeth : J'ai travaillé plus de 3 ans.
Consultant : Préférez vous le secteur privé ou public ? Elisabeth : J'ai une grande préférence pour le privé, plus dynamique à mon sens.
Consultant : Quelles sont vos relations avec les nouvelles technologies ? Elisabeth : Bonnes
Consultant : Avez-vous un équipement informatique à votre domicile et lequel ? Elisabeth : Oui, effectivement, j'ai un portable.
Consultant : Avez vous confiance en vous? Elisabeth : Oui
Consultant : Comment savez vous que vous avez confiance en vous ? Elisabeth : Une grande partie de ma carrière s'est déroulée dans le secteur de l'intérim. Autant dire que cela nécessite une grande capacité d'adaptation, le goà»t du challenge et par ailleurs je me lance des défis régulièrement.
Consultant : Avez vous une confiance naturelle envers les autres ? Elisabeth : Non
Consultant : Pourquoi n'avez vous pas confiance envers les autres ? Elisabeth : Au fil des années et de mes expériences, j'ai appris que dans le monde du travail, les enjeux individuels sont bien plus complexes qu'on veut bien le croire, ce qui induit souvent des comportements et des postures qui sont loin d'être professionnels, et comme j'ai une haute opinion de ce qu'est le professionnalisme et l'éthique, je me méfis des attitudes au premier contact. C'est dans la durée que se dévoile la personnalité réelle des personnes et leur implication.
Consultant : Avez vous les sens des responsabilités ? Elisabeth : Oui
Consultant : En quelle occasion avez vous fait preuve de responsabilité ? Elisabeth : Premier cas : quelques soient les motifs de désagrément d'un client en face à face ou au téléphone, je n'oublie jamais que je suis l'image de la société et que je dois tout tenter pour résoudre le problème, même si pour cela, je dois ponctuellement et exceptionnellement sortir de mon domaine de compétences (à moi de m'en expliquer auprès de ma hiérarchie plus tard). Ensuite, je ferai en sorte de connaà®tre les raisons de ce problème et trouver une solution et la proposer le cas échéant. Deuxième cas : un matin un des consultants ne s'est pas présenté lors de l'ouverture d'une session de formation. J'ai donc pris l'initiative de demander à un autre consultant de venir en urgence de son domicile pour débuter la formation.
Consultant : Avez vous déjà passé un bilan de compétence ? Elisabeth : Oui
Consultant : Quelles ont été les conclusions de ce bilan de compétences ? Elisabeth : Ce bilan m'a confortée dans mon ressenti et dans mon profil : je suis un leader opérationnel, aimant l'engagement que demande ce métier, la proximité d'un décideur me donne la sensation d'être au cà…“ur de l'entreprise, et enfin que je suis sensible aux valeurs portées par l'entreprise et à son environnement de travail. A charge pour moi donc, de trouver la société où les valeurs humaines sont encore présentes, où l'organisation du travail donne toute sa place à l'individu, tout ceci dans la convivialité.
Consultant : Avez vous le sens de l'humour dans votre cadre professionnel? Elisabeth : Oui
Consultant : Acceptez vous facilement que l'on vous fasse des petites plaisanteries ? Elisabeth : Oui, tout dépend du degré de connivence. A charge pour moi, de faire comprendre lorsque les mots où les circonstances ne conviennent pas où tout simplement mon statut vis à vis de la personne ne peut pas admettre un certain niveau de familiarité.
Consultant : Quelle est la valeur la plus importante selon vous ? Elisabeth : L'Honneteté
Consultant : Avez vous déjà été obligé(e) d'être malhonnête ? Elisabeth : JAMAIS
Consultant : Quelle la fourchette de vos prétentions salariales annuelles brut ? Elisabeth : Entre 25 000 et 30 000 euros
Consultant : Ce sont des salaires que vous avez déjà obtenus ? Elisabeth : Entre 28 000 et 30 000 euros selon les années.
Consultant : Dans quelle displine vous sentez vous un(e) assistant(e) performant(e) et dans la pratique de quel logiciel ? Elisabeth : Je me sens très performante dès qu'il s'agit de mise en place ou d'organisation (exemple : l'organisation d'un séminaire pour 250 personnes et que mon engagement demande 4 mois d'investissement). Quant au logiciel, je me sens bien avec WORD et EXCEL qui sont pour moi des outils d'organisation et de suivi sans lesquels je ne pourrai pas être performante, mais ces logiciels sont performants parce que je les exploite au mieux et que je les maà®trise parfaitement.
Consultant : Lors de votre dernière expérience professionnelle, qu'avez-vous appris ? Elisabeth : J'ai dà» créer et suivre un budget de 350 KE dans le domaine de la formation, et c'est grace à ma formation initiale en gestion/comptabilité que j'ai pu exceller. Je ne pensais pas que ma formation initiale pouvait encore m'apporter autant aujourd'hui.
Consultant : Décrivez-moi les situations qui, au bureau, vous suscitent le plus de stress et comment les gérez-vous habituellement ? Elisabeth : Je n'ai pas de problème à gérer le stress inhérent à ce métier. Mais ce qui peut me contrarier fortement, c'est dans certain cas, aller à la négociation avec un collaborateur transversal qui ne donne pas ou retient l'information pour se rendre indispensable. Je vais donc négocier dans l'urgence, mais plus tard je trouverai une stratégie de contournement pour éviter que cela se reproduise ; soit en me rendant moins sujette à ce verrouillage, soit en prenant en charge cette partie.
Consultant : Citez-moi un défi auquel vous avez été confronté(e) dans vos précédentes fonctions et comment l'avez-vous relevé ? Elisabeth : Assistante de Direction au sein d'une société de formation, je ne devais pas sur ce poste gérer les clients en face à face. Hors, très vite, les clients se sont tournés vers moi car j'étais la plus visible. J'ai dà» très vite conseiller et faire des devis de formation pour pouvoir satisfaire ces personnes (sachant qu'aucune cellule commerciale fonctionnelle n'existait par ailleurs). De même pour pouvoir améliorer les entretiens, j'ai créé des supports techniques résumant tous les pré-requis de chaque formation. Je me suis étonnée moi-même du retour de transformation des devis !
Consultant : Parlez-moi d'une situation d'urgence ou de crise à laquelle vous avez été confronté(e) dans vos emplois précédents et quelle a été votre attitude ? Elisabeth : J'ai été confrontée à une crise lorsque l'équipe a décidé d'un commun accord de montrer son désappointement vis à vis de la hiérarchie par un à‚« mouvement à‚». Ils ont eu la délicatesse de me prévenir la veille, et je les ai remercié de ce geste. Sachant que j'étais la seule au courant je leur ai demandé leurs motifs. Grace aux liens de confiance que j'avais établis, j'ai pu les écouter et appréhender la gravité de la situation. J'en ai fait part immédiatement à ma hiérarchie et donner les quelques premiers éléments que j'avais en ma possession. La gestion de conflit n'étant pas de mon domaine de compétence, et ma loyauté allant en premier lieu à ma hiérarchie, j'ai préféré avoir une attitude des plus neutre et je n'ai pas pris part au suivi de ce conflit afin de préserver l'après-crise.
Consultant : Racontez-moi la plus belle réussite de votre carrière et quel but cherchez-vous à atteindre maintenant ? Elisabeth : Il n'existe pas pour moi de plus belle réussite : chaque défi relevé, a été un challenge personnel, une étape supplémentaire dans l'épanouissement personnel et dans la connaissance et le renforcement de mes atouts. Aujourd'hui, mon but premier est de donner un nouvel élan à ma carrière, en m'engageant totalement dans une entreprise qui saura reconnaà®tre dans mon profil tous les avantages de me compter parmi ces collaborateurs de qualité.
Consultant : Dans vos expériences passées, avec quels types de clients ou de collègues aviez-vous le plus de mal à travailler et quel comportement adoptiez-vous ? Elisabeth : Je n'ai jamais eu de problème avec un client. Par contre, j'ai plus de mal à travailler avec des collègues qui sont plus dans la posture que dans le travail effectif, et qui mettent sans cesse en avant leur statut plus que leur implication personnelle. Je cherche encore le comportement adéquate à avoir : pour l'instant j'ai choisi la neutralité. Il n'y a pas de solution toute faite, il vaut mieux parfois s'abstenir et attendre.
Consultant : Souvenez-vous d'un moment où vous avez pris la mauvaise décision ou commis une erreur et comment avez-vous géré cette situation ? Elisabeth : Sincèrement, jamais. J'ai une très haute opinion de la place d'une Assistante de Direction, et de mon domaine de compétence, à chacun son rôle. Cependant, vu mes réponses plus haut, vous avez pu vous rendre compte qu'il m'était arrivée parfois mais rarement d'aller au-delà de ce que l'on attendait de moi, mais je l'ai toujours justifié. Mon rôle est d'être le support privilégié de mon N+1 en toute circonstance et ceci n'est possible que parce que j'ai toujours établi des relations de confiance et de loyauté avec mes supérieurs hiérarchiques et que la qualité de services prime en toute circonstance.
Consultant : Pouvez-vous me décrire ce que vous avez le plus aimé et moins aimé dans la façon dont vous étiez dirigé(e) dans vos précédents postes ? Elisabeth : Ce que j'ai le plus aimé, c'est la totale autonomie et la confiance de ma hiérarchie. Ce que j'ai le moins apprécié : lorsqu'on utilise son assistante pour transmettre les mauvaises nouvelles, mais j'ai appris à dire NON. Fréquemment, l'Assistante étant le vecteur de l'information, elle est associée par défaut à la prise de décision, il faut donc assumer cette partie du poste. Cependant, en aucun cas l'Assistante ne peut être le vecteur initiale d'une information qui prédestine un changement de premier ordre, le changement s'accompagne, à chacun son rôle. Dernière chose : l'open-space est ce qui m'insupporte le plus, et pour ma part ce n'est pas la place d'une Assistante de Direction quand on sait le rouage essentiel qu'elle est dans la bonne gestion d'une équipe. Il ne faut pas oublier que l'une des qualités demandées à une Assistante de Direction, est la discrétion et qu'elle est amenée à gérer des dossiers en mode confidentiel.
Consultant : Que vous soyez débutant(e) ou confirmé(e), autodidacte ou diplomé(e), qu'est-ce qui vous donne le sentiment d'être un(e) assistant(e) expert(e) ? Elisabeth : Les compliments de ma hiérarchie et qu'aucune remarque n'a jamais été faite, par ailleurs les responsabilités supplémentaires que l'on me confits
Consultant : Que ce soit en stage, en job d'été, en CDD ou en CDI dans combien d'entreprises avez vous travaillé ? Elisabeth : 10
Consultant : Combien de lettres de recommandation pouvez vous produire pour justifier la qualité de votre apport professionnel dans ces differentes entreprises ? Elisabeth : Je n'ai jamais demandé de lettre de recommandation, n'en voyant pas l'utilité ni l'objectivité. Par ailleurs, la hiérarchie n'aime pas s'épancher sur des écrits qui restent. Quoiqu'il en soit, j'ai gardé de très bonnes relations dans chacune des sociétés avec la hiérarchie, il suffit donc de me demander leurs noms si je suis en phase de négociation lors d'un entretien d'embauche en ayant prévenu à l'avance les personnes concernées.
Consultant : Comment est votre Anglais ? Elisabeth : Je ne parle pas Anglais
Consultant : Pensez vous que cela est un obstacle dans votre carrière professionnelle ? Elisabeth : Oui et non : Oui, aux regards du nombre de poste d'Assistante de Direction Bilingue proposé. Non, car cela impliquerait un environnement trop tournée vers l'international et je n'y tiens pas vraiment aujourd'hui. Mais je suis pragmatique, je prévois dans mon évolution de carrière de prendre des cours d'anglais.
Consultant : L'entretien se termine, comment avez vous vécu cette expérience virtuelle ? Elisabeth : assez bien
Consultant : Pourriez vous dire pourquoi vous estimez avoir bien vécu cette expérience ? Elisabeth : Elle permet de prendre du recul sur notre carrière et s'apercevoir que nos compétences n'ont cessé d'évoluer et c'est gratifiant.
Consultant : Y a-t-il une question que vous auriez aimé que je vous pose, si oui quelle est-elle ? Elisabeth : Vous travaillez pour deux directeurs qui ne s'entendent pas et s'en cachent pas. Comment gérez-vous cet état de conflits larvés au quotidien ?
Réduire son Auto-entretien Consultant : Pourquoi préférez vous travailler dans l'anticipation ? Elisabeth : Ma grande capacité d'analyse de mon environnement, mon autonomie, le recul que je peux avoir, me prédisposent à toujours trouver les méthodes, les process pour améliorer notre capacité à anticiper, et ainsi se donner le temps d'agir plutôt que je réagir. Cette capacité de temporiser permet par la même de gérer la réelle urgence et l'imprévu.
Consultant : Tolérez vous les dépassements d'horaires ? Elisabeth : Oui
Consultant : Votre environnement tolère-t-il les dépassements d'horaires ? Elisabeth : Oui.
Consultant : Préférez vous ? Elisabeth : Débuter tôt - Finir tôt
Consultant : Avez vous déjà donné votre démission ? Elisabeth : Oui
Consultant : Combien de fois avez vous donné votre démission et pourquoi ? Elisabeth : J'ai démissionné une fois au motif qu'il m'était impossible de cautionner la nouvelle organisation. Celle-ci impliquait que toutes les Assistantes de Direction devenaient interchangeables à tout moment de la semaine. Ce nouveau profil de poste, induisait une négation totale de mon expertise, de mes valeurs, et une incapacité à terme de pouvoir faire évoluer sa carrière. Connaissant ma capacité de rebondir, j'ai pris donc un risque calculé.
Consultant : Qu'est ce que la ponctualité pour vous ? Elisabeth : une vertu
Consultant : Pourquoi considérez vous la ponctualité comme une vertu ? Elisabeth : C'est le premier acte de respect.
Consultant : En dehors de vos loisirs, avez vous des activités extra professionnelles, du type association ? Elisabeth : Oui
Consultant : Quelles sont ces activités extra-professionnelles ? Elisabeth : Je prends des cours de danse country c'est rafraà®chissant !
Consultant : Que lisez vous régulierement ? Elisabeth : Un magazine
Consultant : Quel magazine lisez vous régulièrement ? Elisabeth : Les articles sur le marché de l'emploi, sur notre société et son évolution, sur la psychologie.
Consultant : Pouvez vous classer ces divertissements par ordre d'interet : le cinéma, la télé, le théâtre, la lecture, le sport, le shopping, les sorties entre amis ? Elisabeth : La lecture, la télé, le théâtre, le shopping, le cinéma, les sorties entre amis.
Consultant : Aimez vous dessiner ? Elisabeth : Oui
Consultant : Etes vous créatif(ve) et comment le savez vous ? Elisabeth : Je suis créative, et c'est pourquoi j'élabore des process dans le cadre professionnel pour faciliter la gestion quotidienne.
Consultant : Pouvez vous classer ces vertus par ordre d'importance pour vous, la politesse, l'honnêteté, la modestie, le courage, la franchise, la ponctualité, la rigueur ? Elisabeth : L'honnêteté, la politesse, la modestie, le courage, la franchise, la ponctualité, la rigueur.
Consultant : Laissez vous votre numéro de portable à la disposition de votre entreprise ? Elisabeth : Oui
Consultant : Vos collègues sont ils nécessairement vos amis ? Elisabeth : Non, je fais en sorte de maintenir une distance selon les rapports hiérarchiques et opérationnels tout en gardant une part de convivialité. Quant aux autres, ce sont les affinités qui priment.
Consultant : Aimez vous participer à des salons professionnels ? Elisabeth : Non
Consultant : Aimeriez vous participer à un salon ou à un évènement professionnel ? Elisabeth : Oui, si l'on me donne l'opportunité ou si je prends part à son organisation.
Consultant : Aimez vous les relations avec la clientèle ? Elisabeth : Oui
Consultant : Avez vous une dimension commerciale ? Elisabeth : Oui, si cette dimension ne devient pas le cà…“ur de métier.
Consultant : Avez vous déjà organisé des voyages à étapes pour des dirigeants ? Elisabeth : Non
Consultant : Vous sentez vous capable d'organiser des voyages pour des dirigeants ? Elisabeth : Absolument, j'ai organisé durant plusieurs années les voyages de 30 Consultants qui se déplaçaient quotidiennement.
Consultant : Avez vous déjà été à l'initiative d'un changement d'organisation procédural ou managérial dans une entreprise ? Elisabeth : Oui
Consultant : En quelle occasion avez vous pris cette initiative d'un changement d'organisation ? Elisabeth : 1-J'ai élaboré un process à base de mailing à partir une base de données que j'avais moi-même créé pour les déplacements des Consultants, ce qui m'a permis de diviser par quatre le temps de gestion quotidien. 2-J'ai créé entre autre un tableau de bord de la gestion quotidienne des formations INTER-entreprises.
Consultant : Vous êtes trés fatigué(e), mais avec 20 minutes d'efforts supplémentaires vous pouvez terminer tous les dossiers en cours, que faites vous ? Elisabeth : Je poursuis en prévoyant de relire le lendemain
Consultant : Avez vous déjà participé à des séminaires, des conférences, des cercles de qualité? Elisabeth : Oui
Consultant : Avez vous déjà travaillé en famille ? Elisabeth : Non
Consultant : Aimeriez-vous travailler en famille ? Elisabeth : Non, il est préférable pour maintenir des liens, d'éviter tout conflit qui pourrait se retrouver dans la sphère familiale.
Consultant : Préfériez vous travailler dans une Micro Structure (2 à 10 personnes), une PME (30 à 100 salariés) ou un Grand Groupe ? Elisabeth : Une PME
Consultant : Pourquoi préféreriez vous travailler dans une PME ? Elisabeth : Etant donnée mon expérience dans différentes organisations du travail, je préfère une PME : l'individu a sa place sans être broyé par le poids de la complexité de l'organisation et des relations internes induites par ce type de système.
Consultant : Quel pourcentage de votre temps de travail représente l'assistanat classique ? Elisabeth : 50 %
Consultant : Les 50 % sont consacrés à quelles autres activités ? Elisabeth : Au support managérial de l'équipe, à l'amélioration des objectifs par l'intégration de nouveaux process... à suppléer son N+1 dans les domaines qui ne sont pas en lien avec la stratégie de la Direction, ce domaine restant le à‚« pré carré à‚» du Directeur.
Consultant : Dans quel secteur d'activité souhaitez vous ne plus travailler ? Elisabeth : Tout me convient.
Consultant : Travaillez vous avec un dictionnaire ? Elisabeth : Oui
Consultant : Avez vous une bonne orthographe ? Elisabeth : Très bonne.
Consultant : Avez vous déjà travaillé avec une personnalité difficile ? Elisabeth : Oui
Consultant : Combien de temps avez vous travaillé avec une personnalité difficile ? Elisabeth : J'ai travaillé plus de 3 ans.
Consultant : Préférez vous le secteur privé ou public ? Elisabeth : J'ai une grande préférence pour le privé, plus dynamique à mon sens.
Consultant : Quelles sont vos relations avec les nouvelles technologies ? Elisabeth : Bonnes
Consultant : Avez-vous un équipement informatique à votre domicile et lequel ? Elisabeth : Oui, effectivement, j'ai un portable.
Consultant : Avez vous confiance en vous? Elisabeth : Oui
Consultant : Comment savez vous que vous avez confiance en vous ? Elisabeth : Une grande partie de ma carrière s'est déroulée dans le secteur de l'intérim. Autant dire que cela nécessite une grande capacité d'adaptation, le goà»t du challenge et par ailleurs je me lance des défis régulièrement.
Consultant : Avez vous une confiance naturelle envers les autres ? Elisabeth : Non
Consultant : Pourquoi n'avez vous pas confiance envers les autres ? Elisabeth : Au fil des années et de mes expériences, j'ai appris que dans le monde du travail, les enjeux individuels sont bien plus complexes qu'on veut bien le croire, ce qui induit souvent des comportements et des postures qui sont loin d'être professionnels, et comme j'ai une haute opinion de ce qu'est le professionnalisme et l'éthique, je me méfis des attitudes au premier contact. C'est dans la durée que se dévoile la personnalité réelle des personnes et leur implication.
Consultant : Avez vous les sens des responsabilités ? Elisabeth : Oui
Consultant : En quelle occasion avez vous fait preuve de responsabilité ? Elisabeth : Premier cas : quelques soient les motifs de désagrément d'un client en face à face ou au téléphone, je n'oublie jamais que je suis l'image de la société et que je dois tout tenter pour résoudre le problème, même si pour cela, je dois ponctuellement et exceptionnellement sortir de mon domaine de compétences (à moi de m'en expliquer auprès de ma hiérarchie plus tard). Ensuite, je ferai en sorte de connaà®tre les raisons de ce problème et trouver une solution et la proposer le cas échéant. Deuxième cas : un matin un des consultants ne s'est pas présenté lors de l'ouverture d'une session de formation. J'ai donc pris l'initiative de demander à un autre consultant de venir en urgence de son domicile pour débuter la formation.
Consultant : Avez vous déjà passé un bilan de compétence ? Elisabeth : Oui
Consultant : Quelles ont été les conclusions de ce bilan de compétences ? Elisabeth : Ce bilan m'a confortée dans mon ressenti et dans mon profil : je suis un leader opérationnel, aimant l'engagement que demande ce métier, la proximité d'un décideur me donne la sensation d'être au cà…“ur de l'entreprise, et enfin que je suis sensible aux valeurs portées par l'entreprise et à son environnement de travail. A charge pour moi donc, de trouver la société où les valeurs humaines sont encore présentes, où l'organisation du travail donne toute sa place à l'individu, tout ceci dans la convivialité.
Consultant : Avez vous le sens de l'humour dans votre cadre professionnel? Elisabeth : Oui
Consultant : Acceptez vous facilement que l'on vous fasse des petites plaisanteries ? Elisabeth : Oui, tout dépend du degré de connivence. A charge pour moi, de faire comprendre lorsque les mots où les circonstances ne conviennent pas où tout simplement mon statut vis à vis de la personne ne peut pas admettre un certain niveau de familiarité.
Consultant : Quelle est la valeur la plus importante selon vous ? Elisabeth : L'Honneteté
Consultant : Avez vous déjà été obligé(e) d'être malhonnête ? Elisabeth : JAMAIS
Consultant : Quelle la fourchette de vos prétentions salariales annuelles brut ? Elisabeth : Entre 25 000 et 30 000 euros
Consultant : Ce sont des salaires que vous avez déjà obtenus ? Elisabeth : Entre 28 000 et 30 000 euros selon les années.
Consultant : Dans quelle displine vous sentez vous un(e) assistant(e) performant(e) et dans la pratique de quel logiciel ? Elisabeth : Je me sens très performante dès qu'il s'agit de mise en place ou d'organisation (exemple : l'organisation d'un séminaire pour 250 personnes et que mon engagement demande 4 mois d'investissement). Quant au logiciel, je me sens bien avec WORD et EXCEL qui sont pour moi des outils d'organisation et de suivi sans lesquels je ne pourrai pas être performante, mais ces logiciels sont performants parce que je les exploite au mieux et que je les maà®trise parfaitement.
Consultant : Lors de votre dernière expérience professionnelle, qu'avez-vous appris ? Elisabeth : J'ai dà» créer et suivre un budget de 350 KE dans le domaine de la formation, et c'est grace à ma formation initiale en gestion/comptabilité que j'ai pu exceller. Je ne pensais pas que ma formation initiale pouvait encore m'apporter autant aujourd'hui.
Consultant : Décrivez-moi les situations qui, au bureau, vous suscitent le plus de stress et comment les gérez-vous habituellement ? Elisabeth : Je n'ai pas de problème à gérer le stress inhérent à ce métier. Mais ce qui peut me contrarier fortement, c'est dans certain cas, aller à la négociation avec un collaborateur transversal qui ne donne pas ou retient l'information pour se rendre indispensable. Je vais donc négocier dans l'urgence, mais plus tard je trouverai une stratégie de contournement pour éviter que cela se reproduise ; soit en me rendant moins sujette à ce verrouillage, soit en prenant en charge cette partie.
Consultant : Citez-moi un défi auquel vous avez été confronté(e) dans vos précédentes fonctions et comment l'avez-vous relevé ? Elisabeth : Assistante de Direction au sein d'une société de formation, je ne devais pas sur ce poste gérer les clients en face à face. Hors, très vite, les clients se sont tournés vers moi car j'étais la plus visible. J'ai dà» très vite conseiller et faire des devis de formation pour pouvoir satisfaire ces personnes (sachant qu'aucune cellule commerciale fonctionnelle n'existait par ailleurs). De même pour pouvoir améliorer les entretiens, j'ai créé des supports techniques résumant tous les pré-requis de chaque formation. Je me suis étonnée moi-même du retour de transformation des devis !
Consultant : Parlez-moi d'une situation d'urgence ou de crise à laquelle vous avez été confronté(e) dans vos emplois précédents et quelle a été votre attitude ? Elisabeth : J'ai été confrontée à une crise lorsque l'équipe a décidé d'un commun accord de montrer son désappointement vis à vis de la hiérarchie par un à‚« mouvement à‚». Ils ont eu la délicatesse de me prévenir la veille, et je les ai remercié de ce geste. Sachant que j'étais la seule au courant je leur ai demandé leurs motifs. Grace aux liens de confiance que j'avais établis, j'ai pu les écouter et appréhender la gravité de la situation. J'en ai fait part immédiatement à ma hiérarchie et donner les quelques premiers éléments que j'avais en ma possession. La gestion de conflit n'étant pas de mon domaine de compétence, et ma loyauté allant en premier lieu à ma hiérarchie, j'ai préféré avoir une attitude des plus neutre et je n'ai pas pris part au suivi de ce conflit afin de préserver l'après-crise.
Consultant : Racontez-moi la plus belle réussite de votre carrière et quel but cherchez-vous à atteindre maintenant ? Elisabeth : Il n'existe pas pour moi de plus belle réussite : chaque défi relevé, a été un challenge personnel, une étape supplémentaire dans l'épanouissement personnel et dans la connaissance et le renforcement de mes atouts. Aujourd'hui, mon but premier est de donner un nouvel élan à ma carrière, en m'engageant totalement dans une entreprise qui saura reconnaà®tre dans mon profil tous les avantages de me compter parmi ces collaborateurs de qualité.
Consultant : Dans vos expériences passées, avec quels types de clients ou de collègues aviez-vous le plus de mal à travailler et quel comportement adoptiez-vous ? Elisabeth : Je n'ai jamais eu de problème avec un client. Par contre, j'ai plus de mal à travailler avec des collègues qui sont plus dans la posture que dans le travail effectif, et qui mettent sans cesse en avant leur statut plus que leur implication personnelle. Je cherche encore le comportement adéquate à avoir : pour l'instant j'ai choisi la neutralité. Il n'y a pas de solution toute faite, il vaut mieux parfois s'abstenir et attendre.
Consultant : Souvenez-vous d'un moment où vous avez pris la mauvaise décision ou commis une erreur et comment avez-vous géré cette situation ? Elisabeth : Sincèrement, jamais. J'ai une très haute opinion de la place d'une Assistante de Direction, et de mon domaine de compétence, à chacun son rôle. Cependant, vu mes réponses plus haut, vous avez pu vous rendre compte qu'il m'était arrivée parfois mais rarement d'aller au-delà de ce que l'on attendait de moi, mais je l'ai toujours justifié. Mon rôle est d'être le support privilégié de mon N+1 en toute circonstance et ceci n'est possible que parce que j'ai toujours établi des relations de confiance et de loyauté avec mes supérieurs hiérarchiques et que la qualité de services prime en toute circonstance.
Consultant : Pouvez-vous me décrire ce que vous avez le plus aimé et moins aimé dans la façon dont vous étiez dirigé(e) dans vos précédents postes ? Elisabeth : Ce que j'ai le plus aimé, c'est la totale autonomie et la confiance de ma hiérarchie. Ce que j'ai le moins apprécié : lorsqu'on utilise son assistante pour transmettre les mauvaises nouvelles, mais j'ai appris à dire NON. Fréquemment, l'Assistante étant le vecteur de l'information, elle est associée par défaut à la prise de décision, il faut donc assumer cette partie du poste. Cependant, en aucun cas l'Assistante ne peut être le vecteur initiale d'une information qui prédestine un changement de premier ordre, le changement s'accompagne, à chacun son rôle. Dernière chose : l'open-space est ce qui m'insupporte le plus, et pour ma part ce n'est pas la place d'une Assistante de Direction quand on sait le rouage essentiel qu'elle est dans la bonne gestion d'une équipe. Il ne faut pas oublier que l'une des qualités demandées à une Assistante de Direction, est la discrétion et qu'elle est amenée à gérer des dossiers en mode confidentiel.
Consultant : Que vous soyez débutant(e) ou confirmé(e), autodidacte ou diplomé(e), qu'est-ce qui vous donne le sentiment d'être un(e) assistant(e) expert(e) ? Elisabeth : Les compliments de ma hiérarchie et qu'aucune remarque n'a jamais été faite, par ailleurs les responsabilités supplémentaires que l'on me confits
Consultant : Que ce soit en stage, en job d'été, en CDD ou en CDI dans combien d'entreprises avez vous travaillé ? Elisabeth : 10
Consultant : Combien de lettres de recommandation pouvez vous produire pour justifier la qualité de votre apport professionnel dans ces differentes entreprises ? Elisabeth : Je n'ai jamais demandé de lettre de recommandation, n'en voyant pas l'utilité ni l'objectivité. Par ailleurs, la hiérarchie n'aime pas s'épancher sur des écrits qui restent. Quoiqu'il en soit, j'ai gardé de très bonnes relations dans chacune des sociétés avec la hiérarchie, il suffit donc de me demander leurs noms si je suis en phase de négociation lors d'un entretien d'embauche en ayant prévenu à l'avance les personnes concernées.
Consultant : Comment est votre Anglais ? Elisabeth : Je ne parle pas Anglais
Consultant : Pensez vous que cela est un obstacle dans votre carrière professionnelle ? Elisabeth : Oui et non : Oui, aux regards du nombre de poste d'Assistante de Direction Bilingue proposé. Non, car cela impliquerait un environnement trop tournée vers l'international et je n'y tiens pas vraiment aujourd'hui. Mais je suis pragmatique, je prévois dans mon évolution de carrière de prendre des cours d'anglais.
Consultant : L'entretien se termine, comment avez vous vécu cette expérience virtuelle ? Elisabeth : assez bien
Consultant : Pourriez vous dire pourquoi vous estimez avoir bien vécu cette expérience ? Elisabeth : Elle permet de prendre du recul sur notre carrière et s'apercevoir que nos compétences n'ont cessé d'évoluer et c'est gratifiant.
Consultant : Y a-t-il une question que vous auriez aimé que je vous pose, si oui quelle est-elle ? Elisabeth : Vous travaillez pour deux directeurs qui ne s'entendent pas et s'en cachent pas. Comment gérez-vous cet état de conflits larvés au quotidien ?
