Assistante commerciale ou de direction
Martine B.
95810 Berville
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Auto-entretien de Martine B.
Cet entretien a eu lieu le 19/04/05 à 20h02
Consultant : Bonjour, pourriez vous vous présenter brievement s'il vous plait ? Martine : J'ai le niveau BAC C (mathématiques). Je suis autodidacte en ce qui concerne l'assistanat, j'ai appris le métier sur le terrain. Je suis une personne gaie, curieuse, autonome et déterminée. J'aime les contacts et j'ai un bon relationnel.Je souhaite trouver un emploi qui me permette de mettre en pratique celui-ci.Consultant : Etes vous heureuse d'exercer votre métier d'assistante ? Martine : Oui
Consultant : qu'est ce que votre métier d'assistante vous apporte ? Martine : Il me permet de m'épanouir, de développer mes compétences et de me valoriser.
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Consultant :
Dans quelle situation préférez vous travailler ?
Martine :
dans l'anticipation
Consultant : Pourquoi préférez vous travailler dans l'anticipation ? Martine : Je dois avouer que j'ai été embarrassée pour répondre à la précédente question car j'aurais pu répondre différemment, cela dépend de mon état d'esprit. Travailler par anticipation peut permettre d'être plus serein, de prévoir.
Consultant : Tolérez vous les dépassements d'horaires ? Martine : Oui
Consultant : Votre environnement tolère-t-il les dépassements d'horaires ? Martine : Je n'ai aucun soucis à ce propos. Mon entourage comprend parfaitement cela et mon fils est un homme, à présent.
Consultant : Préférez vous ? Martine : Débuter tard - Finir tard
Consultant : Avez vous déjà donné votre démission ? Martine : Oui
Consultant : Combien de fois avez vous donné votre démission et pourquoi ? Martine : trois fois. La première fois, je souhaitais faire des missions en intérim pour parfaire mon expérience. La deuxième fois, j'ai voulu parir à l'étranger : le désir de voir autre chose. La troisième fois, j'ai voulu redonner de l'impulsion à ma vie professionnelle que je sentais stagner : j'avais l'impression de ne plus être aux commandes.
Consultant : Qu'est ce que la ponctualité pour vous ? Martine : une culture
Consultant : Pouvez-vous expliquez la dimension culturelle de la ponctualité ? Martine : J'ai appris à être ponctuelle, je ne suis pas née comme cela. La ponctualité s'est apprendre à respecter ses engagements auprès des autres, c'est une forme de respect.
Consultant : En dehors de vos loisirs, avez vous des activités extra professionnelles, du type association ? Martine : Non
Consultant : Manquez vous de temps ou d'interêt pour ces activités extra professionnelles ? Martine : Ni l'un, ni l'autre. Je viens d'emménager sur ma commune et je n'ai pas encore eu d'opportunité à ce propos. Mais, cela ne me déplairait pas.
Consultant : Que lisez vous régulierement ? Martine : Des livres
Consultant : Quel type de littérature vous attire ? Martine : Les ouvrages traitant de psychanalyse.
Consultant : Pouvez vous classer ces divertissements par ordre d'interet : le cinéma, la télé, le théâtre, la lecture, le sport, le shopping, les sorties entre amis ? Martine : le sport, les sorties entre amis, la lecture, le théâtre, le cinéma, le shopping etla télé.
Consultant : Aimez vous dessiner ? Martine : Oui
Consultant : Etes vous créatif(ve) et comment le savez vous ? Martine : Oui, je le suis. J'aime bricoler, jardiner, décorer ma maison et dans toutes ces activités, je laisse s'exprimer ma créativité.
Consultant : Pouvez vous classer ces vertus par ordre d'importance pour vous, la politesse, l'honnêteté, la modestie, le courage, la franchise, la ponctualité, la rigueur ? Martine : Le courage, l'honnêteté, la franchise, la rigueur, la politesse, la ponctualité et la modestie.
Consultant : Laissez vous votre numéro de portable à la disposition de votre entreprise ? Martine : Non
Consultant : Pourquoi ne laissez vous pas votre numéro de portable à la disposition de votre entreprise ? Martine : J'ai un téléphone fixe équipé d'un répondeur sur lequel on peut me joindre ou laisser un message, de la même manière qu'avec un portable.
Consultant : Aimez vous participer à des salons professionnels ? Martine : Non
Consultant : Aimeriez vous participer à un salon ou à un évènement professionnel ? Martine : Oui, je pense que cela doit être une expérience enrichissante, à tous les niveaux.
Consultant : Aimez vous les relations avec la clientèle ? Martine : Oui
Consultant : Avez vous une dimension commerciale ? Martine : Je pense l'avoir car j'ai un bon relationnel et j'aime beaucoup les contacts.
Consultant : Avez vous déjà organisé des voyages à étapes pour des dirigeants ? Martine : Non
Consultant : Vous sentez vous capable d'organiser des voyages pour des dirigeants ? Martine : Pourquoi pas, je mes sens capable d'apprendre à le faire. Ce serait un nouvel enrichissement personnel. De plus, j'adore les voyages : cela ne pourrait, donc, que me plaire.
Consultant : Avez vous déjà été à l'initiative d'un changement d'organisation procédural ou managérial dans une entreprise ? Martine : Non
Consultant : Avez vous l'esprit d'initiative ? Martine : Oui, je pense. J'ai souvent des idées. Je n'aime pas les choses établies, figées. Il me plaà®t de faire évoluer les choses, les gens, les situations. Une amélioration ne se refuse jamais même si elle nécessite une remise en question.
Consultant : Vous êtes trés fatigué(e), mais avec 20 minutes d'efforts supplémentaires vous pouvez terminer tous les dossiers en cours, que faites vous ? Martine : Je poursuis en prévoyant de relire le lendemain
Consultant : Avez vous déjà participé à des séminaires, des conférences, des cercles de qualité? Martine : Non
Consultant : Avez vous déjà travaillé en famille ? Martine : Non
Consultant : Aimeriez-vous travailler en famille ? Martine : Non, je craindrais que la vie de famille et le travail soient mélangés et que les rapports soient faussés car il ne doit pas être évident de mettre de la distance entre les deux.
Consultant : Préfériez vous travailler dans une Micro Structure (2 à 10 personnes), une PME (30 à 100 salariés) ou un Grand Groupe ? Martine : Cela m'est indifferent
Consultant : Quel pourcentage de votre temps de travail représente l'assistanat classique ? Martine : 40 %
Consultant : Les 60 % sont consacrés à quelles autres activités ? Martine : Les 60 % restant étaient consacrés à la comptabilité, la paie, la gestion du planning et des ouvriers.
Consultant : Dans quel secteur d'activité souhaitez vous ne plus travailler ? Martine : Les secteurs que je connais ne me sont pas antipathiques.
Consultant : Travaillez vous avec un dictionnaire ? Martine : Oui
Consultant : Avez vous une bonne orthographe ? Martine : Oui, mais j'ai parfois des doutes.
Consultant : Avez vous déjà travaillé avec une personnalité difficile ? Martine : Oui
Consultant : Combien de temps avez vous travaillé avec une personnalité difficile ? Martine : Pendant seize années.
Consultant : Préférez vous le secteur privé ou public ? Martine : Je ne connais pas le secteur public.
Consultant : Quelles sont vos relations avec les nouvelles technologies ? Martine : Bonnes
Consultant : Avez-vous un équipement informatique à votre domicile et lequel ? Martine : Oui, deux ordinateurs équipés de leurs périphériques.
Consultant : Avez vous confiance en vous? Martine : Oui
Consultant : Comment savez vous que vous avez confiance en vous ? Martine : J'ai eu un terrible accident au cours duquel j'ai combattu pour conserver la vie. Après, j'ai dà» encore me battre pour me remettre debout. Quand je doute, il me suffit de repenser à cela et j'ai confiance en moi.
Consultant : Avez vous une confiance naturelle envers les autres ? Martine : Oui
Consultant : Avez vous déja été déçue de cette confiance et dans quelle occasion ? Martine : Non, pas vraiment car lorsque les personnes n'ont pas répondu à mon attente, c'est parce que, à l'origine, mon jugement sur elles, était erroné.
Consultant : Avez vous les sens des responsabilités ? Martine : Oui
Consultant : En quelle occasion avez vous fait preuve de responsabilité ? Martine : En différentes occasions car j'assume, toujours, mes actes (même mes erreurs) et ce qui en découle (bon ou mauvais). (mon divorce, l'éducation de mon fils, les décisions au travail, l'achat d'une maison....)
Consultant : Avez vous déjà passé un bilan de compétence ? Martine : Non
Consultant : Envisagez vous de faire un bilan de compétences ? Martine : Je n'y ai jamais pensé. Mais, pourquoi pas, ce serait l'opportunité de savoir où j'en suis au niveau professionnel.
Consultant : Avez vous le sens de l'humour dans votre cadre professionnel? Martine : Oui
Consultant : Acceptez vous facilement que l'on vous fasse des petites plaisanteries ? Martine : Aucun problème. Je suis gaie et enjouée, j'aime rire. D'ailleurs, sur le plan santé, cela s'avère bénéfique.
Consultant : Quelle est la valeur la plus importante selon vous ? Martine : L'Honneteté
Consultant : Avez vous déjà été obligée d'être malhonnête ? Martine : J'avoue que c'est une chose que je fais difficilement, cela me met mal à l'aise.
Consultant : Quelle la fourchette de vos prétentions salariales annuelles brut ? Martine : Entre 25 000 et 30 000 euros
Consultant : Ce sont des salaires que vous avez déjà obtenus ? Martine : Oui, à mon dernier poste, mon salaire se situait entre 25000 et 26000 euros annuels.
Consultant : Dans quelle displine vous sentez vous une assistante performante et dans la pratique de quel logiciel ? Martine : Je pense que la communication et le relationnel sont mes domaines de prédilection. Sage mais sans pour cela négliger les autres car il me plaà®t de découvrir les logiciels et de les utiliser.
Consultant : Lors de votre dernière expérience professionnelle, qu'avez-vous appris ? Martine : Beaucoup de choses. L'assistanat avec tout ce qu'il sous-entend (communication, outils informatiques,...), des notions comptables, l'établissement de la paie et ses déclarations, le suivi d'un chantier, le management, les responsabilités professionnelles, l'autonomie, la rigueur professionnelle,... Cela a été une expérience enrichissante.
Consultant : Décrivez-moi les situations qui, au bureau, vous suscitent le plus de stress et comment les gérez-vous habituellement ? Martine : Lorsque mon enourage professionnel me fait subir ses frustrations personnelles, je le supporte mal. Je choisis, souvent, d'en parler gentiment pour rétablir un climat plus serein.
Consultant : Citez-moi un défi auquel vous avez été confronté(e) dans vos précédentes fonctions et comment l'avez-vous relevé ? Martine : Mon employeur est venu me voir au centre de rééducation et m'a appris que pendant mon absence, il avait informatisé l'entreprise et que, donc, à mon retour, je devrais modifier mes méthodes de travail. Je me suis accrochée et je me suis beaucoup investie pour apprendre à utiliser les outils informatiques. J'ai réussi et cela m'a plu.
Consultant : Parlez-moi d'une situation d'urgence ou de crise à laquelle vous avez été confronté(e) dans vos emplois précédents et quelle a été votre attitude ? Martine : Comme je l'ai évoqué lors de la précédente question, j'ai dà» remettre en question mes méthodes de travail et cela, très rapidement. Je me suis beaucoup investie pour devenir, rapidement, opérationnelle.
Consultant : Racontez-moi la plus belle réussite de votre carrière et quel but cherchez-vous à atteindre maintenant ? Martine : Curieusement, je n'ai pas la sensation de l'avoir eue. Toujours, pas celle que j'attendais. Le but que je cherche à atteindre est l'épanouissement professionnel.
Consultant : Citez-moi l'exemple d'une situation que vous avez prise en main sans que cela ne vous soit formellement demandé ? Martine : Je me suis occupée de gérer les problèmes liés à l'informatique alors qu'à l'époque, mon employeur avait recours à une assistance.
Consultant : Décrivez-nous une occasion où vous vous êtes vous-même fixé(e) des objectifs et quels en ont été les résultats ? Martine : Justement, je ne connaissais rien à l'informatique lorsque mon employeur a informatisé l'entreprise. A cette époque, je me suis dit que j'arriverais à maà®triser et j'y suis parvenue, à force de recherches et de réflexion (de manière autodidacte).
Consultant : Quelles expériences de travail avez-vous avec des personnes d'âges différents, de cultures différentes ou des personnes handicapées ? Martine : J'ai eue une collègue qui était de 10 ans mon aà®née et qui supportait mal que je lui donne les directives. C'est avec difficultés que je suis arrivée à lui faire comprendre que nous n'étions pas en compétition et que notre intérêt était d'allier notre savoir pour exécuter notre tâche de la meilleur manière qui soit.
Consultant : Dans vos expériences passées, avec quels types de clients ou de collègues aviez-vous le plus de mal à travailler et quel comportement adoptiez-vous ? Martine : Je supporte difficilement l'agressivité dans les rapports humains. J'essaie, à chaque fois que cela m'est possible, de comprendre l'origine de celle-ci et de la désamorçer.
Consultant : Souvenez-vous d'un moment où vous avez pris la mauvaise décision ou commis une erreur et comment avez-vous géré cette situation ? Martine : Il m'est arrivé d'envoyer un ouvrier sur un chantier alors que mon patron l'avait prévu sur un autre. Je m'empressais de nous excuser auprès du client lésé et je m'employais à trouver une solution lui convenant.
Consultant : Décrivez-moi une situation où vous êtes allé(e) au delà de votre fonction pour aider un client, ou un fournisseur ? Martine : Il m'est arrivé d'accorder un règlement échelonné à un client, sans en avoir parlé, au-préalable, à mon employeur.
Consultant : Pouvez-vous me décrire ce que vous avez le plus aimé et moins aimé dans la façon dont vous étiez dirigé dans vos précédents postes ? Martine : On me laissait une certaine autonomie, ce que j'appréciais car j'aime prendre des responsabilités. Par contre, cette personne, de ce fait, devait craindre que j'oublie que c'était le patron car elle ne manquait pas de me le faire rappeler par des "petites" remarques.
Consultant : Que vous soyez débutant(e) ou confirmé(e), autodidacte ou diplomé(e), qu'est-ce qui vous donne le sentiment d'être une assistante experte? Martine : Je ne sais pas vraiment si je suis une assistante experte. Je fais tout ce qui est en mon possible pour l'être mais j'ai certainement de petites lacunes.
Consultant : Que se soit en stage, en job d'été, en CDD ou en CDI dans combien d'entreprises avez vous travaillé ? Martine : 10
Consultant : Combien de lettres de recommandation pouvez vous produire pour justifier la qualité de votre apport professionnel dans ces differentes entreprises ? Martine : Je n'ai pas de lettre de recommandation.
Consultant : L'entretien se termine, comment avez vous vécu cette expérience virtuelle ? Martine : assez bien
Consultant : Pourriez vous dire pourquoi vous estimez avoir bien vécu cette expérience ? Martine : Je ne me suis pas sentie mal à l'aise. J'ai même pris un certain plaisir à soulever certains "coins du drap".
Consultant : Y a-t-il une question que vous auriez aimé que je vous pose, si oui quelle est-elle ? Martine : Oui, j'aurais aimé que vous me demandiez d'imaginer le dirigeant que j'aurais pu être.
Réduire son Auto-entretien Consultant : Pourquoi préférez vous travailler dans l'anticipation ? Martine : Je dois avouer que j'ai été embarrassée pour répondre à la précédente question car j'aurais pu répondre différemment, cela dépend de mon état d'esprit. Travailler par anticipation peut permettre d'être plus serein, de prévoir.
Consultant : Tolérez vous les dépassements d'horaires ? Martine : Oui
Consultant : Votre environnement tolère-t-il les dépassements d'horaires ? Martine : Je n'ai aucun soucis à ce propos. Mon entourage comprend parfaitement cela et mon fils est un homme, à présent.
Consultant : Préférez vous ? Martine : Débuter tard - Finir tard
Consultant : Avez vous déjà donné votre démission ? Martine : Oui
Consultant : Combien de fois avez vous donné votre démission et pourquoi ? Martine : trois fois. La première fois, je souhaitais faire des missions en intérim pour parfaire mon expérience. La deuxième fois, j'ai voulu parir à l'étranger : le désir de voir autre chose. La troisième fois, j'ai voulu redonner de l'impulsion à ma vie professionnelle que je sentais stagner : j'avais l'impression de ne plus être aux commandes.
Consultant : Qu'est ce que la ponctualité pour vous ? Martine : une culture
Consultant : Pouvez-vous expliquez la dimension culturelle de la ponctualité ? Martine : J'ai appris à être ponctuelle, je ne suis pas née comme cela. La ponctualité s'est apprendre à respecter ses engagements auprès des autres, c'est une forme de respect.
Consultant : En dehors de vos loisirs, avez vous des activités extra professionnelles, du type association ? Martine : Non
Consultant : Manquez vous de temps ou d'interêt pour ces activités extra professionnelles ? Martine : Ni l'un, ni l'autre. Je viens d'emménager sur ma commune et je n'ai pas encore eu d'opportunité à ce propos. Mais, cela ne me déplairait pas.
Consultant : Que lisez vous régulierement ? Martine : Des livres
Consultant : Quel type de littérature vous attire ? Martine : Les ouvrages traitant de psychanalyse.
Consultant : Pouvez vous classer ces divertissements par ordre d'interet : le cinéma, la télé, le théâtre, la lecture, le sport, le shopping, les sorties entre amis ? Martine : le sport, les sorties entre amis, la lecture, le théâtre, le cinéma, le shopping etla télé.
Consultant : Aimez vous dessiner ? Martine : Oui
Consultant : Etes vous créatif(ve) et comment le savez vous ? Martine : Oui, je le suis. J'aime bricoler, jardiner, décorer ma maison et dans toutes ces activités, je laisse s'exprimer ma créativité.
Consultant : Pouvez vous classer ces vertus par ordre d'importance pour vous, la politesse, l'honnêteté, la modestie, le courage, la franchise, la ponctualité, la rigueur ? Martine : Le courage, l'honnêteté, la franchise, la rigueur, la politesse, la ponctualité et la modestie.
Consultant : Laissez vous votre numéro de portable à la disposition de votre entreprise ? Martine : Non
Consultant : Pourquoi ne laissez vous pas votre numéro de portable à la disposition de votre entreprise ? Martine : J'ai un téléphone fixe équipé d'un répondeur sur lequel on peut me joindre ou laisser un message, de la même manière qu'avec un portable.
Consultant : Aimez vous participer à des salons professionnels ? Martine : Non
Consultant : Aimeriez vous participer à un salon ou à un évènement professionnel ? Martine : Oui, je pense que cela doit être une expérience enrichissante, à tous les niveaux.
Consultant : Aimez vous les relations avec la clientèle ? Martine : Oui
Consultant : Avez vous une dimension commerciale ? Martine : Je pense l'avoir car j'ai un bon relationnel et j'aime beaucoup les contacts.
Consultant : Avez vous déjà organisé des voyages à étapes pour des dirigeants ? Martine : Non
Consultant : Vous sentez vous capable d'organiser des voyages pour des dirigeants ? Martine : Pourquoi pas, je mes sens capable d'apprendre à le faire. Ce serait un nouvel enrichissement personnel. De plus, j'adore les voyages : cela ne pourrait, donc, que me plaire.
Consultant : Avez vous déjà été à l'initiative d'un changement d'organisation procédural ou managérial dans une entreprise ? Martine : Non
Consultant : Avez vous l'esprit d'initiative ? Martine : Oui, je pense. J'ai souvent des idées. Je n'aime pas les choses établies, figées. Il me plaà®t de faire évoluer les choses, les gens, les situations. Une amélioration ne se refuse jamais même si elle nécessite une remise en question.
Consultant : Vous êtes trés fatigué(e), mais avec 20 minutes d'efforts supplémentaires vous pouvez terminer tous les dossiers en cours, que faites vous ? Martine : Je poursuis en prévoyant de relire le lendemain
Consultant : Avez vous déjà participé à des séminaires, des conférences, des cercles de qualité? Martine : Non
Consultant : Avez vous déjà travaillé en famille ? Martine : Non
Consultant : Aimeriez-vous travailler en famille ? Martine : Non, je craindrais que la vie de famille et le travail soient mélangés et que les rapports soient faussés car il ne doit pas être évident de mettre de la distance entre les deux.
Consultant : Préfériez vous travailler dans une Micro Structure (2 à 10 personnes), une PME (30 à 100 salariés) ou un Grand Groupe ? Martine : Cela m'est indifferent
Consultant : Quel pourcentage de votre temps de travail représente l'assistanat classique ? Martine : 40 %
Consultant : Les 60 % sont consacrés à quelles autres activités ? Martine : Les 60 % restant étaient consacrés à la comptabilité, la paie, la gestion du planning et des ouvriers.
Consultant : Dans quel secteur d'activité souhaitez vous ne plus travailler ? Martine : Les secteurs que je connais ne me sont pas antipathiques.
Consultant : Travaillez vous avec un dictionnaire ? Martine : Oui
Consultant : Avez vous une bonne orthographe ? Martine : Oui, mais j'ai parfois des doutes.
Consultant : Avez vous déjà travaillé avec une personnalité difficile ? Martine : Oui
Consultant : Combien de temps avez vous travaillé avec une personnalité difficile ? Martine : Pendant seize années.
Consultant : Préférez vous le secteur privé ou public ? Martine : Je ne connais pas le secteur public.
Consultant : Quelles sont vos relations avec les nouvelles technologies ? Martine : Bonnes
Consultant : Avez-vous un équipement informatique à votre domicile et lequel ? Martine : Oui, deux ordinateurs équipés de leurs périphériques.
Consultant : Avez vous confiance en vous? Martine : Oui
Consultant : Comment savez vous que vous avez confiance en vous ? Martine : J'ai eu un terrible accident au cours duquel j'ai combattu pour conserver la vie. Après, j'ai dà» encore me battre pour me remettre debout. Quand je doute, il me suffit de repenser à cela et j'ai confiance en moi.
Consultant : Avez vous une confiance naturelle envers les autres ? Martine : Oui
Consultant : Avez vous déja été déçue de cette confiance et dans quelle occasion ? Martine : Non, pas vraiment car lorsque les personnes n'ont pas répondu à mon attente, c'est parce que, à l'origine, mon jugement sur elles, était erroné.
Consultant : Avez vous les sens des responsabilités ? Martine : Oui
Consultant : En quelle occasion avez vous fait preuve de responsabilité ? Martine : En différentes occasions car j'assume, toujours, mes actes (même mes erreurs) et ce qui en découle (bon ou mauvais). (mon divorce, l'éducation de mon fils, les décisions au travail, l'achat d'une maison....)
Consultant : Avez vous déjà passé un bilan de compétence ? Martine : Non
Consultant : Envisagez vous de faire un bilan de compétences ? Martine : Je n'y ai jamais pensé. Mais, pourquoi pas, ce serait l'opportunité de savoir où j'en suis au niveau professionnel.
Consultant : Avez vous le sens de l'humour dans votre cadre professionnel? Martine : Oui
Consultant : Acceptez vous facilement que l'on vous fasse des petites plaisanteries ? Martine : Aucun problème. Je suis gaie et enjouée, j'aime rire. D'ailleurs, sur le plan santé, cela s'avère bénéfique.
Consultant : Quelle est la valeur la plus importante selon vous ? Martine : L'Honneteté
Consultant : Avez vous déjà été obligée d'être malhonnête ? Martine : J'avoue que c'est une chose que je fais difficilement, cela me met mal à l'aise.
Consultant : Quelle la fourchette de vos prétentions salariales annuelles brut ? Martine : Entre 25 000 et 30 000 euros
Consultant : Ce sont des salaires que vous avez déjà obtenus ? Martine : Oui, à mon dernier poste, mon salaire se situait entre 25000 et 26000 euros annuels.
Consultant : Dans quelle displine vous sentez vous une assistante performante et dans la pratique de quel logiciel ? Martine : Je pense que la communication et le relationnel sont mes domaines de prédilection. Sage mais sans pour cela négliger les autres car il me plaà®t de découvrir les logiciels et de les utiliser.
Consultant : Lors de votre dernière expérience professionnelle, qu'avez-vous appris ? Martine : Beaucoup de choses. L'assistanat avec tout ce qu'il sous-entend (communication, outils informatiques,...), des notions comptables, l'établissement de la paie et ses déclarations, le suivi d'un chantier, le management, les responsabilités professionnelles, l'autonomie, la rigueur professionnelle,... Cela a été une expérience enrichissante.
Consultant : Décrivez-moi les situations qui, au bureau, vous suscitent le plus de stress et comment les gérez-vous habituellement ? Martine : Lorsque mon enourage professionnel me fait subir ses frustrations personnelles, je le supporte mal. Je choisis, souvent, d'en parler gentiment pour rétablir un climat plus serein.
Consultant : Citez-moi un défi auquel vous avez été confronté(e) dans vos précédentes fonctions et comment l'avez-vous relevé ? Martine : Mon employeur est venu me voir au centre de rééducation et m'a appris que pendant mon absence, il avait informatisé l'entreprise et que, donc, à mon retour, je devrais modifier mes méthodes de travail. Je me suis accrochée et je me suis beaucoup investie pour apprendre à utiliser les outils informatiques. J'ai réussi et cela m'a plu.
Consultant : Parlez-moi d'une situation d'urgence ou de crise à laquelle vous avez été confronté(e) dans vos emplois précédents et quelle a été votre attitude ? Martine : Comme je l'ai évoqué lors de la précédente question, j'ai dà» remettre en question mes méthodes de travail et cela, très rapidement. Je me suis beaucoup investie pour devenir, rapidement, opérationnelle.
Consultant : Racontez-moi la plus belle réussite de votre carrière et quel but cherchez-vous à atteindre maintenant ? Martine : Curieusement, je n'ai pas la sensation de l'avoir eue. Toujours, pas celle que j'attendais. Le but que je cherche à atteindre est l'épanouissement professionnel.
Consultant : Citez-moi l'exemple d'une situation que vous avez prise en main sans que cela ne vous soit formellement demandé ? Martine : Je me suis occupée de gérer les problèmes liés à l'informatique alors qu'à l'époque, mon employeur avait recours à une assistance.
Consultant : Décrivez-nous une occasion où vous vous êtes vous-même fixé(e) des objectifs et quels en ont été les résultats ? Martine : Justement, je ne connaissais rien à l'informatique lorsque mon employeur a informatisé l'entreprise. A cette époque, je me suis dit que j'arriverais à maà®triser et j'y suis parvenue, à force de recherches et de réflexion (de manière autodidacte).
Consultant : Quelles expériences de travail avez-vous avec des personnes d'âges différents, de cultures différentes ou des personnes handicapées ? Martine : J'ai eue une collègue qui était de 10 ans mon aà®née et qui supportait mal que je lui donne les directives. C'est avec difficultés que je suis arrivée à lui faire comprendre que nous n'étions pas en compétition et que notre intérêt était d'allier notre savoir pour exécuter notre tâche de la meilleur manière qui soit.
Consultant : Dans vos expériences passées, avec quels types de clients ou de collègues aviez-vous le plus de mal à travailler et quel comportement adoptiez-vous ? Martine : Je supporte difficilement l'agressivité dans les rapports humains. J'essaie, à chaque fois que cela m'est possible, de comprendre l'origine de celle-ci et de la désamorçer.
Consultant : Souvenez-vous d'un moment où vous avez pris la mauvaise décision ou commis une erreur et comment avez-vous géré cette situation ? Martine : Il m'est arrivé d'envoyer un ouvrier sur un chantier alors que mon patron l'avait prévu sur un autre. Je m'empressais de nous excuser auprès du client lésé et je m'employais à trouver une solution lui convenant.
Consultant : Décrivez-moi une situation où vous êtes allé(e) au delà de votre fonction pour aider un client, ou un fournisseur ? Martine : Il m'est arrivé d'accorder un règlement échelonné à un client, sans en avoir parlé, au-préalable, à mon employeur.
Consultant : Pouvez-vous me décrire ce que vous avez le plus aimé et moins aimé dans la façon dont vous étiez dirigé dans vos précédents postes ? Martine : On me laissait une certaine autonomie, ce que j'appréciais car j'aime prendre des responsabilités. Par contre, cette personne, de ce fait, devait craindre que j'oublie que c'était le patron car elle ne manquait pas de me le faire rappeler par des "petites" remarques.
Consultant : Que vous soyez débutant(e) ou confirmé(e), autodidacte ou diplomé(e), qu'est-ce qui vous donne le sentiment d'être une assistante experte? Martine : Je ne sais pas vraiment si je suis une assistante experte. Je fais tout ce qui est en mon possible pour l'être mais j'ai certainement de petites lacunes.
Consultant : Que se soit en stage, en job d'été, en CDD ou en CDI dans combien d'entreprises avez vous travaillé ? Martine : 10
Consultant : Combien de lettres de recommandation pouvez vous produire pour justifier la qualité de votre apport professionnel dans ces differentes entreprises ? Martine : Je n'ai pas de lettre de recommandation.
Consultant : L'entretien se termine, comment avez vous vécu cette expérience virtuelle ? Martine : assez bien
Consultant : Pourriez vous dire pourquoi vous estimez avoir bien vécu cette expérience ? Martine : Je ne me suis pas sentie mal à l'aise. J'ai même pris un certain plaisir à soulever certains "coins du drap".
Consultant : Y a-t-il une question que vous auriez aimé que je vous pose, si oui quelle est-elle ? Martine : Oui, j'aurais aimé que vous me demandiez d'imaginer le dirigeant que j'aurais pu être.
